Le ventre serait notre deuxième cerveau

En, étant à l’origine même des rénovations technologiques, la science avance dans ses recherches grâce à celles-ci. On doit reconnaitre qu’elle est au cœur de la vie de tout le monde car, sans elle, on ne saurait jamais dans quel état le monde serait aujourd’hui. Et, jusqu’à maintenant, les études scientifiques se poursuivent. Pour les récentes découvertes, les spécialistes dans cette matière ont confirmé l’existence d’un deuxième cerveau qui se trouve dans le ventre d’un être humain. C’est une découverte assez impressionnante et aussi difficile à croire pourtant ils défendent la justification de leur hypothèse. Comme on le sait, les démonstrations scientifiques se traduisent toujours en des preuves irréprochables.

Le ventre renferme plusieurs quantités de neurones que le cerveau

Des études effectuées depuis quelques années ont pu ressortir des résultats que l’on attendait, le moins, de la part du ventre d’un corps humain. Avec les observations des chercheurs, ils ont constaté que cette partie du corps exerce une influence, qu’on ne saurait pas en mesure de comprendre, sur le cerveau. C’est ce qui a constitué l’objet de ces études. De là, ils ont découvert que le ventre renferme une certaine quantité de neurone avec un volume se rapprochant de ce que le cortex d’un chat ou d’un chien peut contenir ; On compte plus de 200 millions de neurones en connexion. Ils émettent systématiquement des ordres comme ceux qui se trouvent dans l’organisme cérébral. Ils assurent, dans leur fonction principale, le mécanisme de digestion. Ces deux organismes composés de neurones entretiennent une relation secrète que les découvertes ont pu dévoiler. Les mêmes chercheurs ont affirmé que notre cerveau entérique est le producteur de la 95% de sérotonine. C’est, en effet, un neurotransmetteur œuvrant dans le contrôle des émotions. C’est ce qui explique largement pourquoi lorsqu’on stress ou on traverse des crises émotionnelles, cela se répercute sur notre digestion, donc les maux de ventre.

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Ce qu’on peut bénéficier de cette découverte

Si la majorité des individus ne parviennent pas encore à faire le lien entre les deux cerveaux, plusieurs approches sont envisageables en vue d’en tirer profit. Cette découverte a donné de grands espoirs pour les soins thérapeutiques. D’après le même rapport des scientifiques, des maladies comme le Parkinson sont susceptibles de trouver leur origine dans le ventre. Et afin de trouver les remèdes à toutes maladies, il faut travailleur sur son fondement. Si les hypothèses sont vérifiées, les virus de cette maladie attaquent en premier lieu les neurones contenus dans l’intestin. On envisage alors dans le futur d’effectuer une biopsie intestinale pour le dépistage de la maladie. Puisque cette dernière se manifeste par une destruction massive des neurones, on peut anticiper les traitements à travers cette biopsie. C’est un processus plus facile que celui qu’on exerce avec le cerveau. Avec les relations entretenues par le cerveau et le ventre, les 100 00 milliards de bactéries hébergées par le ventre ont des impacts sur le comportement d’une personne comme leur participation dans le système digestif. Du fait que le ventre est accessible à la gestion des émotions, des études sont aussi en cours pour l’insérer dans les traitements psychologiques.

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